Faut-il,
comme paraît le suggérer Guégan (dans son livre Le Cuisinier français,
Paris, 1934), couper en morceaux la langouste vivante et la faire
revenir à rouge vif dans un poêlon de terre avec un quart de beurre très
frais ? Ou faut-il plus simplement... se pendre ?
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)