« Demain, dis-tu sans cesse, homme du
nihil, demain tu vivras. Dis-moi, ce demain, homme du nihil, quand
vient-il ? Ce demain est déjà aussi vieux que Priam et Nestor. Tu vivras
demain ? Vivre aujourd'hui, homme du nihil, c'est déjà vivre trop
tard.
— Oh, bon Dieu, ne me fais pas chier ! Je fais ce que je veux, merde ! »
(Fernand Delaunay, Glomérules)
— Oh, bon Dieu, ne me fais pas chier ! Je fais ce que je veux, merde ! »
(Fernand Delaunay, Glomérules)