Si
l'on pouvait lire la prose de Fernand Delaunay en oubliant que l'on est
soi-même Fernand Delaunay, il est probable que l'on trouverait l'auteur
fort déplaisant humainement parlant.
(Fernand Delaunay, Glomérules)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)