S'il
n'existait rien de plus triste, dans la « réalité empirique », qu'une
fête foraine, on pourrait dire que le monde est triste comme une fête
foraine. Mais il y a plus triste qu'une fête foraine, il y a... un bal
de mariage. Il faudra donc dire que le monde est triste comme un bal de
mariage.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)