Dans
Maria Chapdelaine, quand François Paradis, le prétendant malheureux de
Maria, meurt pétrifié dans une tempête de neige, ses dernières paroles
sont « câlice » et « cibouère ». Il commence à dire « tabernacle » mais n'a
pas le temps d'achever. Déjà, la mort est là qui l'emporte. La mort, la
mort, la mort, la mort !
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)