Le
roi Béhanzin, en plus d'avoir un nom burlesque, pratiquait les
sacrifices humains. En novembre 1892, quand les troupes du général Dodds
pénétrèrent dans son palais d'Abomey, elles découvrirent que l'édifice
était décoré de crânes humains. Ce fut l'horreur et la stupéfaction
parmi les braves pioupious.
(Marcel Rocabois, Le Néant et l'être)