« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
dimanche 30 décembre 2018
Page de journal
15 octobre. — « L'acarus marginatus, dit M. Raspail, abandonne la peau des pigeons et des oiseaux quand les premiers froids se font sentir, et va s'abriter sous les tas d'ordures et de fumier en fermentation accumulés pendant la belle saison, parce que là il trouve la température qu'il recherche : lorsque la faim le presse, et que son corps est échauffé, il se jette sur le premier oiseau qui fouille ce fumier, ou sur le quadrupède qui le foule aux pieds. L'homme n'en est pas épargné quand il aventure la main ou le pied nu dans ce foyer pullulant de la contagion et du parasitisme ».
— Le « foyer pulullant de la contagion et du parasitisme » ! Comme cela est beau et nous émeut au suprême !
(Barzelus Foukizarian, Journal ontologique critique)
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