Sans
la porte, sans la cabane, sans l'orpin, il y aurait de quoi désespérer.
L'orpin, surtout, nous touche incroyablement. Il met à l'épreuve notre
sagesse « nihilique ». On abandonnerait tout pour lui.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire