S'il
veut échapper à l'emprise tentaculaire de l'État, l'étant existant n'a
d'autre choix que de vivre en autarcie et de se nourrir de betteraves
qu'il a lui-même cultivées. Notons par parenthèse que, comme l'homme, le
jus de betterave se prête idéalement à la défécation.
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
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