Au
chapitre six des Chants de Maldoror, Lautréamont dit de Mervyn qu'il
est « beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une
machine à coudre et d'un parapluie ». Et les surréalistes aussitôt de
s'extasier : « Oh là là ! C'est inc'oyable ! My God, that's amazing ! »
Mais pourquoi une machine à coudre ? Et pourquoi un parapluie ? Pourquoi
pas plutôt une... tête de chien couché ? Tant qu'à donner dans le
grinçant ?
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
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