Quand,
âgé d'une dizaine d'années, on se trouve piégé dans un repas de
communion et qu'on voit des adultes chanter « Au frontibus, au nasibus »,
on se demande si on n'est pas chez les fous et on se dit que la vie, ça
s'annonce mal.
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)
Ce qui était agréable, tout de même, c'est quand ils étaient saouls et tombaient sur le sol. M'en souviens hier.
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