Si
le « penseur paradoxal » Frédéric Nietzsche pouvait prendre aujourd'hui
le métro parisien, il serait sûrement victime d'un « malaise voyageur ».
La laideur qui y règne ; la puanteur quasi excrémentitielle ; et ces
gueules... pour quelqu'un d'aussi émotif...
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)
Me rappelle exactement la description du métro parisien que m'a faite une amie, à son retour en France après une quinzaine de jours au Japon.
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