Si
le nihilique revient jamais danser chez Temporel, il y a fort à parier
qu'il pensera à ceux qui tous ont laissé leurs noms gravés auprès du
sien. Il y a des années, en effet, il a gravé avec un canif sur un
tabouret de bar : « Merde à celui qui le lira, signé Bigeard ».
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)
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