Dans
ses Souvenirs de la maison des morts, l'écrivain russe Dostoïevski dit
que la meilleure définition qu'on puisse donner de l'homme est « un être
qui s'habitue à tout ». Et effectivement, on s'habitue à tout, même à
avoir le traczir. Le nihilique, qui se voit comme un « vétéran de la
panique », peut en témoigner. Mais il trouve ça « dur, oh, bien dur ! »
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)