Depuis
son adolescence, le nihilique est atteint d'acédie monastique. Hugues
de Saint-Victor, dans son Expositio in Abdiam, dit qu'il s'agit d'une
tristesse née de la confusion de l'esprit, de la lassitude et de
l'amertume de l'âme. Et ça a bien l'air d'être ça, en effet.
(Rémi Tripatala, Pensées de Pascal)