« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
lundi 15 octobre 2018
Tétrarhynque
Aucun homme sensé ne saurait être de l'avis de M. Leblond touchant la détermination du petit animal à quatre trompes qu'il a trouvé dans un kyste situé sous le péritoine d'un congre. On peut accorder volontiers qu'il ne soit ni Floriceps ni Anthocéphale, puisque l'extrémité postérieure de son corps ne se termine pas par une vésicule, et que ce doit être un tétrarhynque ; mais ce n'est en aucun cas le Tetrarhynchus appendiculatus de Rudolphi. La plupart des vrais tétrarhynques qui ont pu être observés vivants avaient, à l'extrémité postérieure du corps, une sorte d'appendice qu'ils faisaient rentrer ou sortir suivant certains mouvements. Où est cet appendice, chez le tétrarhynque de M. Leblond ? — [Silence].
(Barzelus Foukizarian, Journal ontologique critique)
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